« Ce qui m’intéresse le plus n’est pas du tout ce qui m’importe le plus » (OE, II, 1521).
Rien d’étonnant, de prime abord, dans cette confidence pour qui connaît la pensée valéryenne : distinction entre ce qui est l’objet d’une séduction, intérêt souvent ponctuel et, comme tel, susceptible de s’évanouir, et ce qui a fait l’objet de recherches constantes, « travail de Pénélope » (C, XII, 606) centré sur la volonté de comprendre ce qu’il en … Voir la suite« Ce qui m’intéresse le plus n’est pas du tout ce qui m’importe le plus » (OE, II, 1521).